Oh Grand Galactus, je sais qu'aujourd'hui même tu as essayé de me joindre alors que j'étais entouré d'une horde d'enfants assoiffés de sang et d'hormones aux relents criards! Je n'ai malheureusement plus ton numéro de téléphone pour te recontacter après cette courte missive, réponds-moi donc prestement, que nous puissions enfin mettre au point ce plan démoniaque auquel nous tenions jadis tous deux, plan ne devant aucunement rester ainsi, un état d'ébauche aux accents vertement douceâtres.
Puisse cette aubade, que dis-je, cet éloge, ne rester sans réponse...
A bientôt, Galactus, par la grace de tous les professeurs d'art plastiques neurasthéniques que notre sainte ville bordelaise puisse encore abriter.
